Comment se faire connaître quand on est un bluesman ?
Défrayer la chronique de façon sauvage, genre tombeur de manches, massacre à la guitare, serial riffer, hécatombes de masse ?
C’est pas le truc de ZU…
Après une vingtaine d’années passées dans la communication, ZU estime avoir suffisamment grandi pour virer sa cuti. Il était grand temps de réécrire la BO de sa vie ! Il devient donc musicien professionnel un soir de juillet 2010. Un rêve de toujours devenu enfin réalité… à 48 ans.
Exactement l’âge où on commence à en avoir plein le dos…
C’est naturellement vers le blues qu’il se (re)tourne. Car il n’est pas né de la dernière tourmente. ZU a aux pieds pas mal de casseroles et sur le dos un lourd fardeau, une participation à la consommation industrielle effrénée, de tous types, urbaine, empoisonnée, criarde, vulgaire, gorgée de profits insolents et d’exploitations sournoises… Ça suffit !
Très sensible aux questions environnementales et à celles de son public, mais peu dupe des belles histoires d’oncle marketing, il décide en 2011 d’opérer une reconversion vers une production locale, saine et authentique qu’il nommera avec malice un « blues bio ».
Auteur-compositeur-guitariste-chanteur, il est à l’origine de plusieurs duos, dont les Blouzayeurs avec le pianiste à bretelles Pascal Rosiak (2013-2015).
Son CD dit solo « Mûr pour le blues » (2015), où il joue ou programme tous les instruments, donne lieu à de belles rencontres et de nombreux invités, comme Benoît Blue Boy à l’harmonica sur le titre qui donne son nom à l’album.
Dans la foulée, sort un recueil de ses textes « Le blues dans tous mes états » préfacé par le même Benoît Blue Boy.
Il se produit en solo avec sa guitare et son dobro dans un répertoire mixte, entre compositions en français et standards US aux arômes arrangés. Plus de 600 concerts (pas que blues) au compteur depuis 2011. Le bitume et le bois…
Il fallait en arriver à ZU et les Zigs, ce quartet musclé garanti sans OGM (Orientation Gauloisement Militante), pour enfin semer plus loin, plus haut. On ne peut pas aller à l’encontre des lois de la nature !
« D’aucuns diront que le blues c’est un truc cradingue, n’empêche, si c’est ce que tu cherches, tu peux te mettre minable avec de bons produits ! Et si t’as pas les ronds, ben tu te fais inviter… »
Comment se faire connaître quand on est un bluesman ?
Défrayer la chronique de façon sauvage, genre tombeur de manches, massacre à la guitare, serial riffer, hécatombes de masse ?
C’est pas le truc de ZU…
Après une vingtaine d’années passées dans la communication, ZU estime avoir suffisamment grandi pour virer sa cuti. Il était grand temps de réécrire la BO de sa vie ! Il devient donc musicien professionnel un soir de juillet 2010. Un rêve de toujours devenu enfin réalité… à 48 ans.
Exactement l’âge où on commence à en avoir plein le dos…
C’est naturellement vers le blues qu’il se (re)tourne. Car il n’est pas né de la dernière tourmente. ZU a aux pieds pas mal de casseroles et sur le dos un lourd fardeau, une consommation industrielle effrénée en tous genres, urbaine, empoisonnée, criarde, vulgaire, gorgée de profits insolents et d’exploitations sournoises… Ça suffit !
Très sensible aux questions environnementales et à celles de son public, mais peu dupe des belles histoires d’oncle marketing, il décide en 2011 d’opérer une reconversion vers une production locale, saine et authentique qu’il nommera avec malice un « blues bio ».
Auteur-compositeur-guitariste-chanteur, il est à l’origine de plusieurs duos, dont les Blouzayeurs avec le pianiste à bretelles Pascal Rosiak (2013-2015).
Son CD dit solo « Mûr pour le blues » (2015), où il joue ou programme tous les instruments, donne lieu à de belles rencontres et de nombreux invités, comme Benoît Blue Boy à l’harmonica sur le titre qui donne son nom à l’album.
Dans la foulée, sort un recueil de ses textes « Le blues dans tous mes états » préfacé par le même Benoît Blue Boy.
Il se produit en solo avec sa guitare et son dobro dans un répertoire mixte, entre compositions en français et standards US aux arômes arrangés. Plus de 500 concerts (pas que blues) au compteur depuis 2011. Le bitume et le bois…
Il fallait en arriver à ZU et les Zigs, ce quartet musclé garanti sans OGM (Orientation Gauloisement Militante), pour enfin semer plus loin, plus haut. On ne peut pas aller à l’encontre des lois de la nature !
« D’aucuns diront que le blues c’est un truc cradingue, n’empêche, si c’est ce que tu cherches, tu peux te mettre minable avec de bons produits ! Et si t’as pas les ronds, ben tu te fais inviter… »