
Où sont les Zigs ?
Patrick Juvet parlait des femmes, moi c’est des Zigs… Le quartet dans sa dernière forme en date est dissous, dissous c’est pas grand chose, mais
Patrick Juvet parlait des femmes, moi c’est des Zigs… Le quartet dans sa dernière forme en date est dissous, dissous c’est pas grand chose, mais
Ça nourrit pas son homme mais ça permet de continuer d’exister, sachant que le grand Sachem (la Sacem, quoi), reverse au mieux 0,01 cents par
Dans Jazz Rhône-Alpes, Jean-Pierre Jacquot gratifie ZU et les Zigs d’un compte-rendu de concert élogieux et bien gaulé, d’autant appréciable que ce type d’exercice est
Du blues bio ! Comment déguster une musique fraîche, locale et excellente pour la santé ?
Le quartet ZU et les Zigs cultive un blues directement issu du terroir. Pourquoi aller chercher à l’autre bout de la terre ce qui pousse ici ? Surtout quand ça a du goût.
Bourrés d’éthique – au point de sauter sur place – ces quatre bluesiculteurs essaiment leur grain de folie et sèment la bonne parole. Aucune posture, pas de discours ni de prosélytisme, juste un bouquet de mots cueillis au gré des humeurs : poésie à loisir, pointe de cynisme, colère à moudre, humour poivré (noir de préférence)…
La nature reste encore généreuse même si le climat est rude !
Côté rythme, la subtile combinaison d’un blues juste un peu gras (mais pas trop) et d’un concentré de groove relève le plat comme il se doit.
C’est désormais à proximité que ça se passe. Et par ici, on ne manque ni d’idées, ni d’essences pour bâtir des bicoques en bois ou des projets cohérents… les juke joints se font rares, réincarnons-les !
Compositions originales assorties de quelques reprises (spécialement cuisinées selon les possibilités linguistiques anglophones hexagonales).
Les Zigs
Du blues bio ! Comment déguster une musique fraîche, locale et excellente pour la santé ?
Le quartet ZU et les Zigs cultive un blues directement issu du terroir. Pourquoi aller chercher à l’autre bout de la terre ce qui pousse ici ? Surtout quand ça a du goût.
Bourrés d’éthique – au point de sauter sur place – ces quatre bluesiculteurs essaiment leur grain de folie et sèment la bonne parole. Aucune posture, pas de discours ni de prosélytisme, juste un bouquet de mots cueillis au gré des humeurs : poésie à loisir, pointe de cynisme, colère à moudre, humour poivré (noir de préférence)…
La nature reste encore généreuse même si le climat est rude !
Côté rythme, la subtile combinaison d’un blues juste un peu gras (mais pas trop) et d’un concentré de groove relève le plat comme il se doit.
C’est désormais à proximité que ça se passe. Et par ici, on ne manque ni d’idées, ni d’essences pour bâtir des bicoques en bois ou des projets cohérents… les juke joints se font rares, réincarnons-les !
Compositions originales assorties de quelques reprises (spécialement cuisinées selon les possibilités linguistiques anglophones hexagonales).
Les Zigs
Machin ou Machine
Batterie
Poste à pourvoir, mais faudrait d’abord un tourneur pour ressortir l’engin du garage.
Untel ou Unetelle
Claviers
Poste à pourvoir, mais faudrait d’abord un tourneur pour ressortir l’engin du garage.
Clampin ou Clampine
Basse, chœurs
Poste à pourvoir, mais faudrait d’abord un tourneur pour ressortir l’engin du garage.
N’élimine pas totalement le cafard, mais attire les cigales…
Bavard, inventif, autodidacte et éclectique, ZU est un guitariste-chanteur à jamais concerné par le blues.
Le sien est résolument éthique, robuste, vitaminé, acheminé en circuits courts et sans courts-circuits !
Il relate les bleus de l’âme, les danses lestes, les rythmes endiablés et emmène – non sans humour – un public très vite complice vers d’exquises réjouissances : agapes the blues !
Au menu, un goûteux mélange de ses compositions en français et de standards US revisités à la guitare et au dobro.
N’élimine pas totalement le cafard, mais attire les cigales…
Bavard, inventif, autodidacte et éclectique, ZU est un guitariste-chanteur à jamais concerné par le blues.
Le sien est résolument éthique, robuste, vitaminé, acheminé en circuits courts et sans courts-circuits !
Il relate les bleus de l’âme, les danses lestes, les rythmes endiablés et emmène – non sans humour – un public très vite complice vers d’exquises réjouissances : agapes the blues !
Au menu, un goûteux mélange de ses compositions en français et de standards US revisités à la guitare et au dobro.